L'après-midi précédant son concert au Plan, Ben l'Oncle Soul a reçu les 10 élèves du Club Musique pour une interview. Benjamin (son vrai prénom) s'est révélé être un personnage attachant et plein d'humour. Tour à tour amical, drôle, sérieux, il a pris un malin plaisir à taquiner gentiment les élèves, qui ne demandaient que ça. Des journalistes de France 3 Tours réalisant un reportage sur Ben l'Oncle Soul ont même filmé l'interview.
Le reportage en vidéo :
Estéban : Êtes-vous content d'être nommé pour les NRJ Music Awards ?
Ben l'Oncle Soul : Oui, je suis très content. Mais c'est un vote du public, donc les cartes ne sont pas dans mes mains, plutôt dans celles de tout le monde. On verra bien comment ça se présente.
Ben l'Oncle Soul : Oui, je suis auteur, compositeur et interprète. Je suis aussi beaucoup co-auteur et co-compositeur. Je travaille en binôme avec Gabin, mon pote d'enfance de Tours que j'ai rencontré dans un groupe de Gospel. On a discuté et on s'est rendu compte qu'on aimait tous les deux la Soul. Donc on a voulu faire des choses ensemble. J'écris toute la musique avec lui et toutes les paroles en français je les écris avec Freddy. Je travaille aussi avec Beat Assailant (qui est un groupe de rap américain et français) pour les paroles en anglais. Je ne maîtrise pas encore complètement l'anglais, donc je préfère m'aider d'un camarade américain.
Ben l'Oncle Soul : Dans l'annuaire (rires). Non, j'essaie de raconter des histoires, tout simplement. Je m'inspire de la vie quotidienne. Je peux vous raconter autour d'une chanson ma soirée d'hier soir parce qu'il s'est passé un truc marrant, ou prendre un exemple de relations humaines. J'ai par exemple une chansons sur ma petite soeur, c'est quelque chose que j'ai observé chez elle. Je ne sais pas si vous avez des frères et soeurs ? Il y a de l'amour parce qu'on est de la même famille, mais il y a aussi beaucoup de conflits, d'histoires, ça se crêpe le chignon en permanence. Je ne sais pas comment ça se passe pour vous, mais j'ai souvent observé ça. J'essaie aussi de raconter des histoires ou des situations qui parlent aux gens, dans lesquelles ils peuvent se retrouver.
"Je fouillais dans les tiroirs de ma mère et j'écoutais ses vinyles, ses CD..."
Ben l'Oncle Soul : Pas du tout. Personne ne fait de le musique dans ma famille. Un jour ma mère a acheté un petit piano d'appartement. Elle ne savait pas en jouer mais elle trouvait ça joli. Peut-être qu'elle espérait qu'un jour je m'y mette. Moi, au début, je croyais que c'était juste un meuble parce qu'il y avait tout un tas d'objets et de déco posé dessus. Je me suis rendu compte très tard que ça faisait de la musique ce truc (rires). Ma mère était vraiment passionnée de musique 60's. Je ne sais pas si vous connaissez tous les anciens, Ray Charles, Marvin Gaye, Otis Redding,.. Ils sont plus de la génération de mes parents, mais je fouillais dans les tiroirs de ma mère et j'écoutais ses vinyles, ses CD, donc j'ai énormément écouté tous ces artistes soul.
Ben l'Oncle Soul : Il y en a beaucoup qui sont morts du coup...
George : Dans les chanteurs actuels plutôt ?
Ben l'Oncle Soul : Alors il y a quelqu'un qui s'appelle Raphael Saadiq, que j'aime beaucoup. Il a sorti un album hommage à la Soul des années 60. Sinon dans les gens que vous connaissez peut-être plus, il y a Alicia Keys, Anthony Hamilton, Al Green ou surtout Stevie Wonder qui sont encore vivants. Stevie Wonder c'est un peu le "papa Motown".
George : Merci.
Ben l'Oncle Soul : De rien, je t'en supplie (rires). Ça me fait vraiment plaisir.
Ben l'Oncle Soul : Ma première scène ? Alors... Il y avait la kermesse de l'école en CM2 (rires)... Mais ma vraie première scène, c'était il me semble au Café De La Danse à Paris, en première partie. Ensuite, toutes mes premières scènes étaient dans des salles parisiennes que je ne connaissais pas du tout.
"J'ai toujours voulu faire de la Soul et je n'ai jamais vraiment cherché à faire autre chose"
Ben l'Oncle Soul : Pardon ?
Flora : La Soul a-t-elle toujours été le style de musique que vous avez joué ?
Ben l'Oncle Soul : Pardon ? (rires). Je plaisante. A l'adolescence j'écoutais aussi beaucoup de R&B et de Rythm & Blues. Mes premiers essais de chant c'était dans un groupe de gospel. J'ai aussi eu des épisodes avec des camarades de classe qui voulaient faire du rap, moi je faisais du R&B dans les refrains. Mais très vite, c'est la soul qui m'a passionné, j'avais envie de faire cette musique-là. J'avais aussi l'impression qu'avec mon grain de voix un peu cassé, un peu éraillé, ça correspondait plus à la soul qu'au R&B, où en général ils ont des voix très lisses, fluides et hautes perchées. Je n'avais pas ce type de voix et c'est la Soul que je préfère. Donc j'ai toujours voulu faire de la Soul et je n'ai jamais vraiment cherché à faire autre chose. Mais dans les prochains albums, il y aura je pense d'autres influences. Est-ce que ça vous va comme réponse, ça ?
Tous : Oui !
"Au collège je portais beaucoup les noeuds papillons donc mes camarades se moquaient de moi, et ils m'ont appelé Oncle Ben, par rapport à la marque de riz..."
Melissa : Pourquoi avoir choisi comme nom Ben L'Oncle Soul ?
Ben l'Oncle Soul : Tu vois, je croyais que c'était elle qui allait choisir la question, eh bien pas du tout, elle t'a doublé ! (rires). Pourquoi Ben L'Oncle Soul ? C'est ça la question ? Très bonne question mademoiselle, bravo. J'aimerais que tout le monde l'applaudisse s'il vous plait (applaudissement, rires) ! Alors à la base, mon surnom au collège vient de mon style vestimentaire : je portais beaucoup les noeuds papillons donc mes camarades se moquaient de moi, et ils m'ont appelé Oncle Ben, par rapport à la marque de riz (rires). Voilà, voilà... Continuez... J'ai passé dix ans à souffrir de ça et vous continuez à vous moquer de moi, c'est génial ! Non, mais ça vient vraiment de là. Ils trouvaient que mon style ressemblait à celui du mec d'Oncle Ben sur la boîte de riz. En plus je m'appelle Benjamin, donc ils ont vite fait le rapprochement avec la marque de riz et ils m'appelaient "Oncle Ben ! Oncle Ben !". Du coup quand j'ai commencé à faire de la musique et qu'il a fallu trouver un nom, j'ai gardé celui-là. Par contre au moment de sortir l'album, la marque n'était pas d'accord. Du coup j'ai mis les mots dans le désordre est c'est passé. C'est devenu Ben L'Oncle Soooooul. L'Oncle quoi ? L'Oncle Sooooooooooul ! Ah ! OK (rires).
Ben l'Oncle Soul : Tu vois, je croyais que c'était elle qui allait choisir la question, eh bien pas du tout, elle t'a doublé ! (rires). Pourquoi Ben L'Oncle Soul ? C'est ça la question ? Très bonne question mademoiselle, bravo. J'aimerais que tout le monde l'applaudisse s'il vous plait (applaudissement, rires) ! Alors à la base, mon surnom au collège vient de mon style vestimentaire : je portais beaucoup les noeuds papillons donc mes camarades se moquaient de moi, et ils m'ont appelé Oncle Ben, par rapport à la marque de riz (rires). Voilà, voilà... Continuez... J'ai passé dix ans à souffrir de ça et vous continuez à vous moquer de moi, c'est génial ! Non, mais ça vient vraiment de là. Ils trouvaient que mon style ressemblait à celui du mec d'Oncle Ben sur la boîte de riz. En plus je m'appelle Benjamin, donc ils ont vite fait le rapprochement avec la marque de riz et ils m'appelaient "Oncle Ben ! Oncle Ben !". Du coup quand j'ai commencé à faire de la musique et qu'il a fallu trouver un nom, j'ai gardé celui-là. Par contre au moment de sortir l'album, la marque n'était pas d'accord. Du coup j'ai mis les mots dans le désordre est c'est passé. C'est devenu Ben L'Oncle Soooooul. L'Oncle quoi ? L'Oncle Sooooooooooul ! Ah ! OK (rires).
"J'ai commencé à parler anglais en apprenant des chansons en anglais, parce que j'avais envie de comprendre ce que le chanteur racontait"
Ben l'Oncle Soul : Allez, une autre question, madame qui rigole dans son écharpe... Ça suffit de rigoler, de se moquer d'Oncle Ben... Tu ne manges pas de riz, peut-être ? (rires) Nous vous écoutons, mademoiselle.
Trelony : J'ai mal au ventre à force de rire...
Ben l'Oncle Soul : Oui, mais même avec un mal de ventre, nous vous écoutons quand même ! Bon... Qui d'autre a une question ?
Trelony : Pourquoi avez-vous décidé de...
Ben l'Oncle Soul : Non, qui d'autre a une question ? (rires) Oui ? Excuse-moi...
Ben l'Oncle Soul : Eh bien le péruvien, en fait, c'est une langue que j'aime beaucoup (rires). L'anglais, c'est arrivé assez naturellement. J'écoutais beaucoup d'artistes américains qui chantaient en anglais et toute cette musique puise ses origines dans la musique noire américaine. Donc j'ai grandi en écoutant l'anglais dans ces chansons. Du coup j'avais envie de me faire plaisir et de chanter aussi bien en anglais qu'en français dans mon album. C'est une langue que j'aime beaucoup et qui marche bien dans les chansons. Vous parlez un peu anglais, vous ?
Tous : Oui, un peu...
Tous : Oui, un peu...
Ben l'Oncle Soul : C'est bien, même si c'est le début. Si je peux vous donner un petit conseil, il y a un truc qui est génial pour apprendre l'anglais : si vous aimez bien une chanson, américaine par exemple, c'est super intéressant de savoir ce qu'elle raconte, non ? Il y a un site qui s'appelle lacoccinelle.net, vous connaissez ? Vous allez sur ce site, vous tapez le nom de l'artiste et le nom de la chanson que vous voulez, ça vous affiche toute la traduction en français avec le texte en anglais à côté. Moi j'ai commencé à parler anglais comme ça en apprenant des chansons en anglais, parce que j'avais envie de comprendre ce que le chanteur racontait. Du coup c'est sympa, assez facile, et parfois c'est plus sympa que le cours d'anglais...
Estéban : Comment avez-vous trouvé l'inspiration pour votre look ?
Ben l'Oncle Soul : J'ai toujours été un peu l'original de service, le clown. J'avais envie de me démarquer, de ne pas m'habiller comme les autres. C'était aussi une façon de contrer cette obsession d'avoir des fringues de marque. Comme ma mère n'avait pas beaucoup d'argent pour m'acheter des habits, je choisissais des vêtements complètement originaux. Tout le monde disait "mais comment il s'est habillé, lui aujourd'hui ?". Au moins c'était drôle et je ne suivais la mode de personne. Ce qui me plaisait, c'était surtout les personnages, les chanteurs qu'il y avait sur les disques que j'écoutais. Je m'habillais comme eux en fait. Ce sont les artistes qui m'ont insufflé ce style vestimentaire. Toi, par exemple, tu aimes bien qui comme artiste ?
Estéban : Usher. Et vous.
Ben l'Oncle Soul : Ah oui, c'est vrai qu'Usher il porte des sweats à capuche de ce style.
Sarah : Avez-vous réalisé un rêve d'enfance en devenant chanteur ?
Ben l'Oncle Soul : Ce n'était pas vraiment un rêve d'enfance en fait. Moi je voulais devenir professeur d'Arts Plastiques ! A huit ans, je prenais des cours du soir de dessin, j'adorais ça et je n'étais pas mauvais. Du coup je voulais vraiment faire du dessin toute ma vie, l'enseigner, prendre du plaisir en dessinant. Du coup j'ai fait les Beaux-Arts pendant 5 ans après le bac, c'est une école d'art qui forme les artistes. Je faisais de la musique le dimanche, mais plus comme un loisir. Je n'ai jamais vraiment cherché à réussir à tout prix, par contre j'ai créé un myspace et les gens pouvaient écouter ce que je faisais chez moi à Tours. C'est comme ça que tout a commencé, grâce à Internet. Mais quelque part oui, c'est quand même un rêve de gosse, parce que je n'imaginais même pas ça possible. Je n'y croyais pas, je ne pensais pas que ça puisse m'arriver. Après, quand on m'a donné l'opportunité de devenir chanteur, je me suis battu, j'ai mis toute mon énergie dedans et ça a marché. Enfin, j'ai l'impression que ça marche. En tout cas je fais ce qui me plait et c'est ça qui est agréable et plaisant. Et aussi, pour faire la petite note du daron (rires) : j'ai eu mon diplôme de fin d'étude avant de faire de la musique. Ça veut dire que si demain la musique ça ne marche plus, j'ai un métier dans les mains ! Dans les métiers artistiques, on ne sait jamais vraiment si ça va fonctionner, il faut faire ce qu'on a envie de faire, se faire plaisir selon ses goûts, faire les choses sincèrement sans vouloir à tout prix réussir.
Lydia : Quelle est la plus grande salle où vous avez chanté ?
Ben l'Oncle Soul : C'est le Zénith de Paris, pour le concert d'Hocus Pocus. Vous connaissez Hocus Pocus ? C'est un groupe de hip-hop Nantais, influencé soul/jazz. Ils m'ont invité à chanter sur leur album, donc quand ils ont fait le Zénith il y a quelques mois, j'étais là aussi. Après on a aussi fait des festivals en plein air où il y avait énormément de monde, comme les Solidays. C'est un concert de soutien pour la cause du SIDA, et il y a 50 000 personnes. Pour vous donner un ordre d'idée, le Zénith c'est presque 7000 places.
Cameraman : Le fan-club c'est 80% de filles. Est-ce que ça a changé votre vie ?
Ben l'Oncle Soul : C'est des chiffres qui sont vérifiés, ça ?
Cameraman : Regardez la table ! (ndA : 8 filles et 2 garçons)
Ben l'Oncle Soul : Ah oui, d'accord (rires)...
George (à Estéban) : Nous on peut partir je pense...
Ben l'Oncle Soul : Bon ben les gars, merci (rires)... C'était sympa d'être venus. Non, en fait ça n'a rien changé à ma vie parce que je suis marié.... (silence) Je viens de briser des coeurs, je suis vraiment désolé (rires). Ça n'a pas changé ma vie, peut-être que je mets plus de râteaux que prévu... Mais c'est marrant parce que je peux vous assurer qu'avec un noeud papillon à votre âge, personne ne voulait sortir avec moi. C'était une honte !
"J'avais envie de me démarquer, de ne pas m'habiller comme les autres. (...) C'était drôle et je ne suivais la mode de personne."
Estéban : Comment avez-vous trouvé l'inspiration pour votre look ?
Ben l'Oncle Soul : J'ai toujours été un peu l'original de service, le clown. J'avais envie de me démarquer, de ne pas m'habiller comme les autres. C'était aussi une façon de contrer cette obsession d'avoir des fringues de marque. Comme ma mère n'avait pas beaucoup d'argent pour m'acheter des habits, je choisissais des vêtements complètement originaux. Tout le monde disait "mais comment il s'est habillé, lui aujourd'hui ?". Au moins c'était drôle et je ne suivais la mode de personne. Ce qui me plaisait, c'était surtout les personnages, les chanteurs qu'il y avait sur les disques que j'écoutais. Je m'habillais comme eux en fait. Ce sont les artistes qui m'ont insufflé ce style vestimentaire. Toi, par exemple, tu aimes bien qui comme artiste ?
Estéban : Usher. Et vous.
Ben l'Oncle Soul : Ah oui, c'est vrai qu'Usher il porte des sweats à capuche de ce style.
"Je voulais devenir professeur d'Arts Plastiques !"
Sarah : Avez-vous réalisé un rêve d'enfance en devenant chanteur ?
Ben l'Oncle Soul : Ce n'était pas vraiment un rêve d'enfance en fait. Moi je voulais devenir professeur d'Arts Plastiques ! A huit ans, je prenais des cours du soir de dessin, j'adorais ça et je n'étais pas mauvais. Du coup je voulais vraiment faire du dessin toute ma vie, l'enseigner, prendre du plaisir en dessinant. Du coup j'ai fait les Beaux-Arts pendant 5 ans après le bac, c'est une école d'art qui forme les artistes. Je faisais de la musique le dimanche, mais plus comme un loisir. Je n'ai jamais vraiment cherché à réussir à tout prix, par contre j'ai créé un myspace et les gens pouvaient écouter ce que je faisais chez moi à Tours. C'est comme ça que tout a commencé, grâce à Internet. Mais quelque part oui, c'est quand même un rêve de gosse, parce que je n'imaginais même pas ça possible. Je n'y croyais pas, je ne pensais pas que ça puisse m'arriver. Après, quand on m'a donné l'opportunité de devenir chanteur, je me suis battu, j'ai mis toute mon énergie dedans et ça a marché. Enfin, j'ai l'impression que ça marche. En tout cas je fais ce qui me plait et c'est ça qui est agréable et plaisant. Et aussi, pour faire la petite note du daron (rires) : j'ai eu mon diplôme de fin d'étude avant de faire de la musique. Ça veut dire que si demain la musique ça ne marche plus, j'ai un métier dans les mains ! Dans les métiers artistiques, on ne sait jamais vraiment si ça va fonctionner, il faut faire ce qu'on a envie de faire, se faire plaisir selon ses goûts, faire les choses sincèrement sans vouloir à tout prix réussir.
Lydia : Quelle est la plus grande salle où vous avez chanté ?
Ben l'Oncle Soul : C'est le Zénith de Paris, pour le concert d'Hocus Pocus. Vous connaissez Hocus Pocus ? C'est un groupe de hip-hop Nantais, influencé soul/jazz. Ils m'ont invité à chanter sur leur album, donc quand ils ont fait le Zénith il y a quelques mois, j'étais là aussi. Après on a aussi fait des festivals en plein air où il y avait énormément de monde, comme les Solidays. C'est un concert de soutien pour la cause du SIDA, et il y a 50 000 personnes. Pour vous donner un ordre d'idée, le Zénith c'est presque 7000 places.
"Avec un noeud papillon à votre âge, personne ne voulait sortir avec moi !"
Cameraman : Le fan-club c'est 80% de filles. Est-ce que ça a changé votre vie ?
Ben l'Oncle Soul : C'est des chiffres qui sont vérifiés, ça ?
Cameraman : Regardez la table ! (ndA : 8 filles et 2 garçons)
Ben l'Oncle Soul : Ah oui, d'accord (rires)...
George (à Estéban) : Nous on peut partir je pense...
Ben l'Oncle Soul : Bon ben les gars, merci (rires)... C'était sympa d'être venus. Non, en fait ça n'a rien changé à ma vie parce que je suis marié.... (silence) Je viens de briser des coeurs, je suis vraiment désolé (rires). Ça n'a pas changé ma vie, peut-être que je mets plus de râteaux que prévu... Mais c'est marrant parce que je peux vous assurer qu'avec un noeud papillon à votre âge, personne ne voulait sortir avec moi. C'était une honte !
Ben l'Oncle Soul : Oui. Ah bah voilà ! Vous étiez où en 1984 ? (rires) Avez-vous d'autres questions les amis ?
Laurie : Non... Mais est-ce qu'il serait possible de faire des autographes ?
Ben l'Oncle Soul : Bien sûr ! Si vous avez des appareils photos ou des portables, on peut même faire des photos !
Laurie : Non... Mais est-ce qu'il serait possible de faire des autographes ?
Ben l'Oncle Soul : Bien sûr ! Si vous avez des appareils photos ou des portables, on peut même faire des photos !
Interview réalisée par les élèves du Club Musique
Article rédigé par Melissa Kherroub et M.Baubeau.
Regardez aussi l'interview de Ben l'Oncle Soul au Plan par les journalistes de France 3 Tours :
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